Prix  Renaissance de la Nouvelle

 


Créé en 1991 et attribué pour la première fois en 1992, le Prix Renaissance de la Nouvelle a pour but, comme son nom l'indique, d'œuvrer à la renaissance de la nouvelle de langue française. Il est attribué chaque année à un recueil de nouvelles paru entre le 15 novembre d'une année et le 15 novembre de l'année suivante. Doté initialement de 2.000 euros, il a vu son montant passer à 3.000 euros, à l'occasion de sa dixième édition, en 2001. En une décennie, il est devenu un des prix les plus importants dans le domaine de la nouvelle francophone.



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N'est plus décerné
Roger GRENIER : Brefs récits pour une longue histoire
Christina MIRJOL : Les petits gouffres
Scholastique MUKASONGA : L'Iguifou
François HINFRAY : L'homme qui parle en marchant sans savoir où il va
Philippe ADAM : Ton petit manège
Jean-Yves MASSON : Ultimes vérités sur la mort du nageur
Delphine COULIN : Une seconde de plus
Véronique BIZOT : Les sangliers
Fabienne JACOB : Les après-midis, ça ne devrait pas exister
Georges THINES : Le voyageur lacunaire
Marie-Hélène LAFON : Liturgie
Hugo MARSAN : Place du bonheur
Sylvain JOUTY : Voyages aux pays évanouis
Hubert HADDAD : Mirabilia
Suzanne BERNARD : Mademoiselle Su
Alain SPIESS : Pourquoi ?
Alain GERBER : Ce qu'on voit dans les yeux d'Iliyna Karopi
Jean-Noël BLANC : Hôtel intérieur nuit
Vincent ENGEL : La vie malgré tout
Annie SAUMONT : Les voilà quel  bonheur
Linda LE : Les évangiles du crime
Jean-Marc AUBERT : L'encombré