Claude FARRERE



Né à Lyon, le 27 avril 1876, de son vrai nom Frédéric-Charles Bargone. Il entra en 1894 à l’École navale. Enseigne de vaisseau en 1899, il obtint en 1906 le grade de lieutenant. Affecté à l’artillerie d’assaut pendant la Première Guerre mondiale, il était capitaine quand fut signée la paix ; il démissionna en 1919 pour se consacrer à sa seconde passion : les lettres. Le 6 mai 1932, il s’interposa entre le président Doumer et son assassin Paul Gorgulov. Il fut blessé de deux balles dans le bras. Il fut élu à l’Académie française le 28 mars 1935. Mort le 21 juin 1957 à Paris.

Quelques Œuvres :

Les Civilisés (1905)
Les Petites Alliées (1910)
La Porte dérobée (1929)
Sillages (1936)
La Seconde porte (1945)


Il a dit :


"Les femmes encombrent la vie, encombrent ma vie ; mais je ne peux pas… je ne peux pas me passer des femmes…"


Dans la presse :

"Il y a beaucoup de gens qui trouvent les romans de M. Farrère excellents, parce que M. Farrère est un auteur réactionnaire.", Jean Paulhan

Prix Littéraires :

- Prix Goncourt (1905)

Livre sur l'auteur :

A. Quella-Villéger, Le Cas Farrère : du Goncourt à la disgrâce, Presses de la Renaissance, 1989

Ses Réponses au Questionnaire de Proust

Prix Claude Farrère