Louis-Hyacinthe BOUILHET
Né à Cany-Barville le 27 mai 1821. Il ira dans un collège à Rouen. Il entre, ensuite à l'école de médecine de Rouen, puis devient interne à l'Hôtel-Dieu, dirigé par le Docteur Flaubert, père de Gustave Flaubert. Il abandonnera la médecine pour la poésie, en gagnant sa vie comme professeur de Lettres. Il résidera à Paris. Il retournera à Rouen en 1867, où il sera nommé conservateur à la bibliothèque publique. Il meurt à Rouen le 18 juillet 1869.
Quelques Œuvres :
Madame de Montarcy (1856)
Hélène Peyron (1858)
L’Oncle Million (1860)
La conjuration d'Amboise (1866)
Dernières chansons (1972)
Il a dit :
"On est plus près du cœur quand la poitrine est plate."
Dans la presse :
"Pur de toute agression, de toute haine, de toute ambition, n'ayant été mêlé à rien de ce qui rapetisse les âmes, n'ayant combattu que le noble combat, Louis Bouilhet n'a été, n'a voulu être qu'un poète.", Th. de Banville
Livre sur l'auteur :
A. Angot, Un ami de G. Flaubert, Louis Bouilhet, sa vie, ses œuvres, 1885
É. Frère, Louis Bouilhet ; son milieu, ses hérédités, l'amitié de Flaubert, Paris, 1908
Léon Letellier, Louis Bouilhet, 1821-1869 : sa vie et ses œuvres, Paris, Hachette, 1919
Henri Raczymow, Pauvre Bouilhet, Gallimard, 1989, coll. "L'un et l'autre"
Prix de Poésie Louis Bouilhet
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