Né  le 7 octobre 1949, aux Andelys dans l’Eure. Il  arrive dans les Ardennes à l’âge de quatre ans et sa famille s'installe d'abord à Boulzicourt puis à Charleville-Mézières. Un an plus tard il quitte l'école et gagne sa vie en enchaînant les petits boulots. A dix-neuf ans, il entre dans une usine de transformation de papier à Givet. En 1980, il s'installe à Nouzonville et se consacre à l'écriture. Il écrit également des chroniques dans le quotidien L'Ardennais. À partir de 1985 il fait de l'écriture son unique moyen de subsistance.

Quelques Œuvres :

Les Fiancés du paradis (1995)
Les Bottes rouges (2000)
Le Grand Bercail (2002)
Le Jardin du Bossu (2004)
La mort d'Edgar (2010)
Ah, les Braves Gens ! (2019)

Il a dit :

« Je suis un homme ordinaire qui écrit ».

Dans la presse :

"Les railleries de Franz Bartelt n'épargnent rien, ni l'automne ni personne. Il pousse le plaisir à se moquer de sa confrérie (.. .), sans jamais oublier de se mettre dans le lot. Bartelt est un puriste.", Martine Laval

Prix Littéraires :

- Prix Cinélect Dorothée Théron (1997) pour Les fiancés du paradis
- Prix de l'Humour noir Xavier Forneret (2001) pour Les Bottes rouges
- Prix Goncourt de la Nouvelle (2006) pour Le Bar des habitudes
- Prix des Hussards (2014) pour Le Fémur de Rimbaud
- Prix Mystère de la Critique (2018) pour Hôtel du Grand Cerf
- Trophée 813 du meilleur roman francophone (2018) pour Hôtel du Grand Cerf
- Prix Claude Chabrol (2018) pour Hôtel du Grand Cerf

Ses Réponses au Questionnaire de Proust