Théodore de BANVILLE



Né à Moulins, le 14 mars 1823, venu à Paris dans son enfance, Théodore de Banville se passionne très jeune pour le spectacle et pour la poésie. Il étudia au lycée Condorcet. Il collabora aussi comme critique dramatique et chroniqueur littéraire aux journaux le Pouvoir (1850), puis le National (1869) et devint une figure très importante du monde littéraire, et membre de la Revue fantaisiste (1861). En 1866, il épouse Marie-Élisabeth Rochegrosse. Il est décédé le 13 mars 1891, à son domicile rue de l'Éperon, à Paris, et il est enterré au cimetière du Montparnasse.

Quelques Œuvres :

Les Cariatides (1842)
Le Sang de la coupe (1857)
Les Exilés (1867)
Le Baiser (1888)
Marcelle Rabe (1891)


Il a dit :


"Ceux qui ne font rien ne se trompent jamais."


Dans la presse :

"Mon poète, c'est le divin Théodore de Banville, qui n'est pas un homme mais la voix même de la lyre.", Stéphane Mallarmé

"Théodore de Banville est le poète du rythme.", Barbey d'Aurevilly


Livre sur l'auteur :

Raymond Lacroix, Théodore de Banville. Une famille pour un poète, Moulins, 1990
Philippe Andrès, Théodore de Banville. Un passeur dans le siècle, Éd. Honoré Champion, 2009