Maurice CAREME



Né à Wavre le 12 mai 1899, où il passe son enfance. Il fait, dans sa ville natale, ses études primaires à l’école communale et ses études secondaires à l’école moyenne qui deviendra Athénée. En 1918, il est nommé instituteur à Anderlecht et s'installe à Bruxelles. Il épouse, en 1921, Andrée Gobron. En 1943, il abandonne le métier d'instituteur pour se consacrer l'écriture. Le 9 mai 1972, il est nommé Prince en poésie à Paris. Il meurt le 13 janvier 1978 à Anderlecht et est inhumé, ainsi qu’il en avait exprimé le désir, dans sa terre natale wavrienne.

Quelques Œuvres :

Mère (1935)
Petite Flore (1937)
La Lanterne magique (1947)
Semeur de rêves (1953)
La Grange bleue (1961)


Il a dit :


"La poésie est le pain de l'âme."


Dans la presse :

"Maurice Carême est un poète de la grandeur et de la misère humaine. Concises, discrètes et pénétrantes, sa poésie et sa prose nous parlent de la solitude profonde de l’homme et la joie de l’existence. »,  Laszlo Ferenczi

Prix Littéraires :

- Prix Triennal de Poésie de la Communauté Française de Belgique (1937) pour Mère
- Prix Victor Rossel (1947) pour Contes pour Caprine
- Prix d'Académie Le Métais-Larivière (1949) pour La maison blanche
- Prix Populiste de Poésie (1951) pour La Voix du silence
- Prix International Syracuse (1952)
- Prix Auguste Capdeville (1954) pour L'eau passe
- Prix de Poésie religieuse (1957)
- Prix Félix Denayer (1958)
- Prix de la Province de Brabant (1967)

Livre sur l'auteur :

Jeannine Burny, Le jour s'en va toujours trop tôt : Sur les pas de Maurice Carême, 2007
Jacques Charles, Maurice Carême, coll. Poètes d'aujourd'hui, Seghers éditeur, Paris 1965

Site sur l'auteur :

www.mauricecareme.be/

Prix Maurice Carême