Juan FILLOY



le 1er août 1894. En 1920, après avoir été reçu comme avocat à l’Université Nationale de Córdoba, il a déménagé à Río Cuarto, ville où il résidera pendant 64 ans. parlait sept langues et a été arbitre de boxe, gérant d’un club de football, caricaturiste, centenaire, juge de paix, chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres, fondateur d’un musée des Beaux-Arts. Durant soixante ans, il a collaboré avec le quotidien « El Pueblo » de Río Cuarto. il est resté plus de 28 ans (entre 1939 et 1967) sans nouvelles publications. Pendant ce temps, il a exercé ses fonctions de juge, sans pour autant cesser d’écrire abondamment. À partir de 1984, il est retourné vivre dans la ville de Córdoba où il a vécu jusqu’à sa mort, le 15 juillet 2000.

Quelques Œuvres :

Op Oloop (1934)
Finesse (1939)
Vil & Vil (1975)
L'Ambigu (1982)
Sagesse (1995)


Il a dit :


"Pour avoir la conscience propre, il faut en expulser les concepts et les discours nauséabonds. Au fond, parler et déféquer c’est à peu près la même chose."


Dans la presse :

«Si l'on rage d'avoir mis tant de temps à découvrir Juan Filloy, on se console en songeant au plaisir d'avoir encore vingt-six livres de lui à découvrir.», Le Monde

Prix Littéraires :

- Grand Prix d’Honneur de la SADE (1971)
- Plume d’Argent du Pen Club (1978)
- Prix Esteban Echeverría, Gens de Lettres (1991)
- Prix Trayectoria, Fonds National des Arts (1993)
- Plume d’Or du Pen Club (1994)
- Plume d’Honneur du Pen Club (1995)
- Grand Prix d’Honneur, Fondation Argentine de Poésie (1996)

Livre sur l'auteur :

Monica Ambort, Juan Filloy. L'écrivain caché, Cordoue, 1992




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