Nourreddine ABA




Né le 16 novembre 1921 à Ain Oulmène (Sétif). Un de ses oncles le prend en charge à la mort de son père alors qu'il est à peine âgé de 6 mois. Il fait ses études au lycée de Sétif. Après une année de droit à la faculté d'Alger, il est mobilisé de 1943 à 1945. Il collabore à Présence africaine dès sa création, ainsi qu'à d'autres revues et périodiques. Il travaillera pendant un temps comme  conseiller à la SNED et fera le va-et-vient entre Alger et Paris jusqu'en 1992. Il élu membre associé de l'Académie des sciences d'outre-mer le 07/06/1985. Il enseigne par ailleurs la littérature algérienne à l’Université d’Urbana dans l’Illinois. En 1990, il crée à Alger la première fondation privée et laïque qui porte son nom. Mort le 19 septembre 1996 à Paris.

 

Quelques Œuvres :

L'Aube de l'amour (1941)
La Toussaint des énigmes (1963)
Gazelle après minuit (1978)
La Récréation des clowns (1980)
La Ville séparée par le fleuve (1992)

Il a dit :

"Le mépris est plus quotidien que le pain."

Dans la presse :

"La littérature de Noureddine Aba est dans la littérature algérienne d’aujourd’hui celle qui se remarque par sa haute tenue, d’ordre moral et spirituel, comme la littérature de Mohammed Dib...", Jean Déjeux 

Prix Littéraires :

- Prix Littéraire de l'Afrique Méditerranéenne (1979) pour Gazelle après minuit
- Prix de l'Amitié Franco-arabe (1981)  pour Telle el Zaâtar s’est tu à la tombée du soir 
- Prix Charles Oulmont (1985)  pour Gazelle après minuit
- Prix Palestine - Mahmoud Hamchari (1988)  pour Telle el Zaâtar s’est tu à la tombée du soir 
- Grand Prix de la Francophonie (1991)

Pseudonymes connus :

Abaoub

Vidéo sur l'auteur :


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