Catherine BREILLAT



Née le 13 juillet 1948 à Bressuire, dans les Deux-Sèvres. Sœur de l'actrice Marie-Hélène Breillat, avec qui elle « monte » à Paris à l'âge de 16 ans. Elle a enseigné, notamment, à la Fémis et à l'Université Columbia. En octobre 2004, elle subit chez elle une attaque cérébrale, puis, à l'hôpital, une importante hémorragie cérébrale qui paralyse son côté gauche. Après cinq mois d'hospitalisation et une lente rééducation, elle parvient à reprendre le travail.

Quelques Œuvres :

L'Homme facile (1968)
Le silence, après... (1971)
Police (1985)
Pornocratie (2004)
Bad Love (2007)

Elle a dit :

«Les temps changent. On ne sait pas quand, mais c'est toujours avant qu'on s'en aperçoive.»

Dans la presse :

"Inversez les initiales CB de Catherine Breillat et vous aurez le BC de Barbara Cartland. C'est si simple ! D'une manière générale, retirez aux intrigues de tante Catherine le porno, et vous avez des bluettes mornes et fades, tout droit issues de Nous Deux. Bref, comme dit son héroïne en contemplant les chutes du Niagara : 'C' est là qu'on s'aperçoit comme on est peu de chose.' Heidegger n'est pas loin.", Nicolas d’Estienne d’Orves

Prix Littéraires :

- Lauriers Verts de la Forêt des Livres - Prix Caméra-Stylo (2007)

Livre sur l'auteur :

Claire Clouzot, Catherine Breillat : Indécence et pureté, Éd Cahiers du Cinéma, Paris, 2004
Christine Aventin, Breillat des yeux le ventre, Éd. Le Somnambule équivoque, 201


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