Né à Domps (Haute-Vienne) le 6 janvier 1906. Il passe une partie de son enfance et de son adolescence à Bellac. Il entre à l'école normale de Versailles en 1922, puis devient instituteur. Durant la guerre, il s'engage dans la Résistance. A la libération, il devient directeur littéraire chez Grasset de 1945 à 1953. Puis il entre au comité de lecture de Gallimard et tient une chronique au Figaro Littéraire de 1946 à 1960. Meurt le 6 novembre 1977à Paris.

Quelques Œuvres :

Enfance (1930)
L'Orage du matin (1942)
La Gartempe (1957)
Le Faussaire (1964)
L'Iguane (1966)

Il a dit :

"Je hais l'imaginaire qui n'a pas son équivalence dans la vie réelle."

Dans la presse :

"Il serait, à mon avis, mal fondé de lui chercher une place dans le domaine du fantastique, son royaume est ailleurs; mais si l'on veut à tout prix employer ce mot, alors il faut reconnaître que son fantastique est d'une originalité déroutante, un fantastique parfaitement personnel auquel je ne connais pas de prédécesseurs.", Raymond Queneau

Livre sur l'auteur :

Christine Lagarde-Escoffier, Le romancier Jean Blanzat : de l'héritage à l'hérésie
Collectif, Pour saluer Jean Blanzat, Presses Univ. Limoges, 2007

Prix Littéraires :

- Grand Prix du Roman de l'Académie Française (1942) pour L'Orage du matin
- Prix Femina (1964) pour Le Faussaire

Ses Réponses au Questionnaire de Proust