Anaïs SEGALAS



Née le 24 septembre 1811 à Paris sous le nom de Anne Caroline Ménard. Elle perd son père à l'âge de 11 ans et demi. Elle habite avec sa mère et épouse à l'âge de 15 ans son voisin Victor Ségalas, avocat. Naissance d'une fille en 1838. En 1847, elle travaille à la rédaction de La Femme quand surviennent les premières manifestations révolutionnaires. Anaïs Ségalas s'implique fortement dans les mouvements sociaux de 1848, collaborant au Journal des femmes. Décédée le 31 aout 1893.

Quelques Œuvres :

Les Algériennes (1831)
Les Oiseaux de passage (1837)
Poésies (1844)
Nos bons parisiens (1864)
La vie de feu (1875)
Le compagnon invisible (1888)

Elle a dit :

“La vie a mille aspects, le néant n'a qu'un moule.”

Dans la presse :

"Un style élégant et pur, du sentiment, de la grâce, de l'élévation de la pensée, l'intelligence de la grandeur et des beautés de la religion qui se révèlent dans plus d'une page, tels sont les qualités qui distinguent Mme Ségalas."

Livre sur l'auteur :

Eugène de Mirecourt, Madame Anaïs Ségalas, Paris, G. Havard, 1856

Prix Anaïs Ségalas