Jacques LAURENT



Né le 5 janvier 1919, à Paris. Après des études au lycée Condorcet, il entre à la Sorbonne où il entreprend une licence de philosophie, que la mobilisation interrompt en 1939. Jamais il ne devait achever ses études. Il fonde, en 1953, une revue littéraire, La Parisienne, et qu’il dirige pendant cinq ans l’hebdomadaire Arts. Il est élu à l’Académie française, le 26 juin 1986. Mort le 29 décembre 2000 à Paris.

Quelques Œuvres :

Caroline Chérie (1947)
Les Corps tranquilles (1948)
Lucrèce Borgia (1953)
Au contraire (1967)
Les Bêtises (1971)
L'Erreur (1986)

Il a dit :

"Sans l'avoir jamais prémédité, j'ai fait de moi deux écrivains."

Dans la presse :

"Notre académicien septuagénaire est le plus jeune des romanciers français d'aujourd'hui. Partez à l'inconnu avec lui. Vous ne verrez pas le temps passer.", Gilles Anquetil

Prix Littéraires :

- Prix du Quai des Orfèvres (1953) pour Sophie et le crime
- Prix Goncourt (1971)  pour Les Bêtises
- Grand Prix de Littérature de l'Académie française (1981)
- Prix Littéraire de la Fondation Prince Pierre de Monaco (1983)
- Prix Jean Giono (1994) pour L'Inconnu du temps qui passe

Livre sur l'auteur :

Bertrand de Saint Vincent, Jacques Laurent, alias Cécil Saint-Laurent, Paris, Julliard, 1995
Raphaël Chauvancy, Jacques Laurent, Collection "Qui suis-je", éditions Pardès, 2009

Pseudonymes connus :

Cécil Saint-Laurent (romans populaires, dont la série des Caroline Chérie), Albéric Varenne (historien), Gilles Bargy et Laurent Labattut (romans policiers), Jean Parquin (critique théâtral) et Roland de Jarnèze


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