Fernand GREGH



Né à Paris, le 14 octobre 1873. Il fit ses études secondaires aux lycées Michelet, Louis-le-Grand et Condorcet et il prépara ensuite à la Sorbonne une licence de philosophie. Il collabore à La Revue Blanche, La Vogue, La Plume et La Revue de Paris, dont il devient secrétaire de rédaction. Président de la Société des Gens de lettres de 1949 à 1965, il fut élu à l’Académie française le 29 janvier 1953. Mort le 5 janvier 1960.

Quelques Œuvres :

La Maison de l'enfance (1896)
Les Clartés humaines (1904)
La Couronne douloureuse (1910)
La Gloire du cœur (1932)
Le Mot du monde (1957)

Il a dit :

"La gloire est le beau nom doré de l'injustice, Et le plus valeureux n'est pas toujours vainqueur."

Dans la presse :

"Fernand Gregh, c'est la tristesse de vivre, traversée de temps en temps, assez rarement, par un "sursaut", comme il le dit lui-même, par un sursaut vers l'amour ou vers la gloire. Ces mouvements sont souvent très beaux. Les chants d'amour de M Gregh ont ce premier mérite d'être rares, ce qui est une façon d'être discrets, et ensuite ils sont d'une absolue sincérité, comme tout ce que M Gregh écrit, et enfin ils sont d'une nuance très fine.", Émile Faguet

Prix Littéraires :

- Prix Archon-Despérouses (1897, 1905)

Livre sur l'auteur :

M.S. Druon, Fernand Gregh et son œuvre, 1937
A. Figueras, Fernand Gregh, poète moderne, 1946


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