Danse :
Suite de pas réglés et sauts codés destinés à être accompagnés par, ou à accompagner, une partition musicale.
Déclaration :
Discours, acte écrit, par lequel on manifeste une prise de position collective ou individuelle, officielle ou privée.
Dédicace :
Hommage que l'on fait d'un livre à une personne ou à un groupe d'individus par un texte imprimé en tête d'ouvrage. Plus personnelle, la dédicace manuscrite n'est, en général, pas revendiquée comme genre.
Description :
Passage d'un texte ou texte par lequel on représente précisément tel ou tel objet afin d'en faire une sorte de tableau particulièrement détaillé. Donnée comme réaliste a priori, la description ne représente pas forcément un objet réel ou même logiquement ordonné.
Diablerie :
Pièce populaire dans laquelle le Diable joue le principal rôle.
Dialogue :
Ouvrage littéraire en forme de conversation.
Dictionnaire :
Recueil des termes d'une langue, d'une science, d'un art regroupés par "entrées". Ces "entrées" sont le plus souvent classées par ordre alphabétique.
Dicton :
Maxime, sentence, phrase facilement assimilable par effet rythmique ou phonétique, à caractère populaire destinée à exprimer telle ou telle "vérité" communément admise.
Discours :
D'abord au sens large, le mot discours désigne tout acte destiné à dire ou à écrire quelque chose.
Dans une acception plus restreinte :
- le discours est un action sur le destinataire (celui qui reçoit le texte), il est ainsi destiné à convaincre, instruire, plaire, émouvoir, blâmer, etc..., tel ou tel objet dont il traite.
- La Rhétorique (l'art du discours) est devenue une discipline destinée à réglementer l'usage et les buts du discours.
On pourra classer les discours (entendus comme textes oraux ou écrits adressés à un lecteur, un groupe de lecteurs ou un auditoire) selon leur destinataire et leur sujet : harangue, allocution, plaidoirie, prière, psaume, oraison, etc.
Dizain :
Strophe ou poème de dix vers.
Drame :
Toute pièce de théâtre.
Dans un sens plus restreint : pièce de théâtre qui mêle le tragique et le comique
(par souci de vraisemblance ou de vérité selon les auteurs).
Peut être accompagné de musique ou complètement chanté.
Drame bourgeois :
Proche de la Comédie Larmoyante ou de la Comédie Sérieuse, le drame bourgeois naît au XVIIIe siècle sur les ruines de la tragédie classique. La volonté de poser des problèmes plus proches de la réalité des spectateurs, de fonder une certaine aspiration à la vertu, de montrer un individu sensible dans une situation pathétique, traduisent les valeurs d'une classe en expansion.
Dans la seconde moitié du XIXe siècle, le drame bourgeois (dont on supprime l'adjectif jugé, dès le début du siècle, péjoratif) peut aboutir, pris à contrepied, au drame antibourgeois. (ex: Les Corbeaux d'Henry Becque).
Drame romantique :
A la suite du mélodrame, du drame bourgeois et surtout du théâtre romantique allemand, le drame romantique en France connaît sa grande bataille avec Hernani. Mêler les genres, jouer tout, du sublime au grotesque, faire fi de la règle des unités, renoncer à la diction pseudo-classique, utiliser Shakespeare et le théâtre élisabéthain, revendiquer le pathétique contre la tragédie classique tels étaient les mots d'ordre.
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