Ferdinand FABRE



Né à Bédarieux le 9 juin 1827. Poussé par sa mère, il entre au petit séminaire de Saint-Pons-de-Thomières et, en 1847, au grand séminaire de Montpellier. En 1849, il renonce à la prêtrise pour aller étudier à Paris. En 1852, il épouse Hermance Bourdier de Beauregard. En 1853, il obtient un poste d'inspecteur des bibliothèques à Calais. Une fille Charlotte nait en 1958. En 1885, il est déclaré conservateur à la Bibliothèque Mazarine à Paris. Il quitte finalement l'administration et se consacre entièrement aux lettres. Mort à Paris le 11 février 1898.

Quelques Œuvres :

Mademoiselle de Malavieille (1865)
La Petite Mère (1877)
Toussaint Galabru (1887)
Sylviane (1892)

Il a dit :

"Il y a des silences qui pèsent plus lourd que les paroles et des solitudes peuplées de souvenirs."

Dans la presse :

«Ferdinand Fabre tente de se délimiter un territoire, lequel finira par coïncider avec un terroir, c’est-à-dire tout autant, mais simultanément un espace où être, et un objet à décrire.», Reynald Squadrelli

Prix Littéraires :

- Prix Vitet (1888)

Livre sur l'auteur :

André Galabru, Sur les pas de Ferdinand Fabre, 1998


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