Max ELSKAMP



cabinet d'avocat en 1984 qu'il dirige pendant 2 ans. Il perd ses parents et sa sœur. Il effectue un voyage en cargo en 1887 le long des côtes atlantiques et jusqu'en Italie, et pendant la guerre de 1914 où il dut se réfugier en Hollande. Pouvant vivre sans souci financier, il s'adonna à la poésie pendant deux périodes de sa vie : de 1886 à 1901, et de 1920 jusqu'à sa mort. Il est élu à l'Académie royale de langue et de littérature françaises le 18 janvier 1921. À partir de 1925, il semble s'enfoncer dans la folie. Mort le 10 décembre 1931.

Quelques Œuvres :

L'Éventail japonais (1886)
Dominical (1892)
Remembrances (1924)
Aegri somnia (1924)

Il a dit :

"Je ne suis pas un lettré, je suis un homme qui regarde.

Dans la presse :

« Il y a dans cette poésie une ferveur naïve, une foi populaire, une tendresse pour les humbles qui rappelle les vitraux des églises ou les images pieuses des almanachs. », 
Charles Van Lerberghe en préface au livre La Louange de la vie


Livre sur l'auteur :

Jean de Bosschère, Max Elskamp, Paris, 1914
Robert Guiette, Max Elskamp, Seghers, 1955
Pascal de Sadelear, Max Elskamp poète et graveur, Bruxelles, 1985



Créez votre propre site internet avec Webador