Giorgio SCERBANENCO
Né à Kiev le 27 juillet 1911. Suite au décès de son père, en 1917, il émigre avec sa mère en Italie, d'abord à Rome puis, à 16 ans, à Milan. Il arrête très tôt ses études pour des raisons financières et commence à collaborer à des journaux féminins d’abord comme correcteur puis comme auteur de nouvelles et de romans à l’eau de rose ainsi qu’au courrier du cœur. En 1943, il se réfugie en Suisse où il restera jusqu’en 1945. Il obtient le grand prix de littérature policière en 1968. Mort à Milan le 27 octobre 1969.
Quelques Œuvres :
La Poupée qui tue (1941)
Vénus privée (1966)
Les Enfants du massacre (1968)
Les Milanais tuent le samedi (1969)
Du sang sur les parvis (1971)
Il a dit :
"On pense qu’on est toujours les mêmes, mais on change un peu, chaque année, peut-être chaque jour."
Dans la presse :
« Toutes les qualités de Scerbanenco, disparu prématurément en 1969 alors qu’il promettait de devenir l’égal transalpin d’un Simenon, se retrouvent dans ce récit. », Le Canard Enchaîné
Prix Littéraires :
- Grand Prix de Littérature policière (1968) pour A tous les râteliers
Prix Scerbanenco
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