Né à Paris le 6 décembre 1862. Il fait ses études secondaires au Lycée Henri IV à Paris avant de se lancer dans la carrière littéraire dès 1884. Il collabore à La Revue indépendante. En 1889, il se présente, à la députation à Nancy, au côté de Maurice Barrès, sous l'étiquette boulangiste et est battu. Décédé à Paris le 2 janvier 1920.

Quelques Œuvres :

Chair molle (1885)
La force (1899)
L'enfant d'Austerlitz (1901)
Au soleil de juillet (1903)
La ruse (1903)
Stéphanie (1913)
Le Culte d'Icare (1923)

Il a dit :

« L'art est l'œuvre d'inscrire un dogme dans un symbole. »

Dans la presse :

"Paul Adam n'était d'ailleurs pas qu'un sot littéraire. Il était un sot complet. C'est lui qui eut cette mirifique idée, au début de la guerre, de réclamer la formation, contre les Allemands, d'un corps spécial composé de tous les civils décorés de la Légion d'honneur. Il n'y a plus à douter, devant de pareils traits, que la bêtise humaine soit sans bornes.", Paul Léautaud

Livre sur l'auteur :

P. Aimond, Paul Adam, 1919
Camille Mauclair, Paul Adam, 1862-1920, Flammarion, 1921
T. Fogelberg, La Langue et le Style de Paul Adam, 1939

Prix Littéraires :

- Prix Alfred Née (1905)