Henri Beyle STENDHAL



Né le 23 janvier 1783 à Grenoble. En 1796, il entre à l'école centrale de Grenoble, puis part à Paris en 1799, pour passer le concours de l'école Polytechnique, mais renonce à se présenter. Il s'engage dans l'armée italienne en 1800. De retour en France, il devient intendant de l'Empereur et mène une vie mondaine. Il est nommé auditeur au Conseil d'État le 3 août 1810. La Campagne de France d'avril 1814 provoque la chute de l'Empire et met fin à sa carrière : démobilisé, il part en Italie et s'installe à Milan où il retrouve sa maîtresse Angela Pietragrua. De retour à Paris, il est presque ruiné après le décès de son père. Le comte Molé le nomme consul à Trieste, puis à Civitavecchia. Un congé lui permet de 1836 à 1839 de revenir à Paris. Il meurt d'une crise d'apoplexie le 23 mars 1842, à Paris.

Quelques Œuvres :

De l'amour (1822)
Armance (1827)
Le Rouge et le Noir (1831)
La Chartreuse de Parme (1839)


Il a dit :


"Il faut secouer la vie ; autrement elle nous ronge."


Dans la presse :

"Un des demi-dieux de nos Lettres, un maître de cette littérature abstraite et ardente, plus sèche et plus légère que toute autre, qui est caractéristique de la France.", Paul Valéry

Livre sur l'auteur :

Cl. Roy, Stendhal par lui-même, "Écrivains de toujours", Seuil, 1951
P. Martino, Stendhal, Boivin, 1934
A. Caraccio, Stendhal, L'homme et l'œuvre, Boivin, 195

Site sur l'auteur :

www.armance.com/

Pseudonymes connus :

Louis Alexandre Bombet, Anastase de Serpière


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