Une métaphore pour me définir ?
Plutôt une phrase de Saint Augustin : « Celui qui se perd dans sa passion a moins perdu que celui qui perd sa passion ».
Ma plus grande audace ?
L’écriture. La plus drôle, je crois : arriver au restaurant en pyjama parce qu’on m’avait contrainte d’accepter une invitation à laquelle je ne voulais pas me rendre. J’étais jeune et placidement rebelle.
Le don que j’aurais aimé posséder ?
Une voix sublime, à la Maria Callas. Je chante très faux.
La qualité que je préfère chez les autres ?
Le courage.
Le ou les mot(s) qui m’enchante(nt) ?
« En vie », « heureux », « paisible ».
Le ou les mot(s) qui m’irrite(nt) ?
« Je n’ai pas d’états d’âme ».
Le livre que j’aurais aimé écrire ?
Des dizaines, dont « Anna Soror » de Marguerite Yourcenar, « Croc Blanc » de Jack London,
« Servitude humaine » de Somerset Maugham, etc.
Les convives de mon dîner idéal ?
Quelques amis, dont Elizabeth, ma meilleure amie décédée, qui me manque toujours terriblement.
Il ne s’agit absolument pas d’un vœu morbide, bien au contraire.
Celui (ou celle) à qui j’aimerais dire merci, et pourquoi ?
Andrée. Pour ces quelques années de magnifique enfance qui m’ont portée toute ma vie et permis de faire face au reste.
Une autre vie que la mienne… ce serait ?
Une incohérence : soprano diva chavirant les foules, à ceci près que les foules m’inquiètent. Je serais donc très malheureuse.
L’épitaphe que j’aimerais lire à mon sujet ?
« Tu nous manques».
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