Jean AICARD
Né le 4 février 1848 à Toulon. Élevé par sa mère, ses grands-parents et sa demi-sœur, il fut envoyé au lycée de Mâcon. Il continuera ses études à la faculté de droit à Paris. En 1869 il deviendra membre de l'Académie du Var et il se partagera entre Paris et La Garde. Il écrira dans les journaux « Le Toulonnais », « Le Courrier de Marseille » et « Le Nouvelliste » de Paris. En 1894 il est nommé président de la société des gens de lettres. Naissance de son fils en 1898. Il est élu membre de l'Académie française en 1909. Il décède le 13 mai 1921 à Paris mais les funérailles se sont déroulées huit jours après à Toulon.
Quelques Œuvres :
Les Jeunes Croyances (1867)
La Vénus de Milo (1874)
Pygmalion (1878)
Au bord du désert (1988)
L'Ibis bleu (1893)
Le Diamant noir (1895)
Maurin des Maures (1908)
Arlette des Mayons (1917)
Il a dit :
"Je suis l'insecte aimé du poète et des dieux."
Dans la presse :
"Jean Aicard a l'immense mérite de faire vivre - avec quel talent ! - la Camargue de la fin du XIXe siècle, avec ses gardians et ses traditions, ses fièvres, ses fêtes et son pèlerinage aux Saintes-Maries."
Prix Littéraires :
- Prix Montyon de l'Académie Française (1876) pour La Chanson de l'enfant
- Prix Vitet de l'Académie Française (1881) pour Miette et Noré
- Prix de Poésie de l'Académie Française (1883) pour Éloge de Lamartine
Livre sur l'auteur :
Adolphe Brisson, Jean Aicard, 1895
G. Aubin, Un poète provençal, Jean Aicard, Digne, 1908
Site sur l'auteur :
www.jean-aicard.com/
Créez votre propre site internet avec Webador