Samuel Taylor COLERIDGE
Né à Ottery Saint Mary, Devon le 21 octobre 1772. Il perd sa mère en 1778, son père en 1783 et se retrouve séparé de sa sœur Dorothy dont il est très proche. Il est envoyé à Londres où il fait des études au collège de Christ's Hospital. Il entre ensuite à Cambridge. C'est à cette période qu'il commence à mener une vie oisive et à accumuler les dettes. Il abandonne, en 1793, ses études pour s'engager dans l'armée sous un faux nom. Il revient à l'université un an après, mais quitte Cambridge sans diplôme. En 1795, il épouse Sara Fricker. Après un séjour en Allemagne en 1798-99, il rentre en Angleterre et s'installe à Keswick, dans le Lake District. Amoureux de Sara Hutchison, mais sentiment non partagé, il se met à fumer de l'opium et sombre dans un égarement psychologique. En 1806, il retourne vivre à Londres , après un séjour à Malte et en Italie. Mort à Highgate dans la banlieue de Londres le 25 juillet 1834.
Quelques Œuvres :
Le Dit du vieux marin (1798)
Découragement (1802)
Christabel (1816)
L'ami (1818)
Nec plus ultra (1826)
Il a dit :
«Le français est peut-être le langage le plus limpide et le plus précis du monde.»
Dans la presse :
"Le plus grand exemple de la conscience critique dans la poésie anglaise, c'est Samuel Caleridge.", T.S. Eliot
Livre sur l'auteur :
J. Charpentier, Coleridge, le somnambule sublime, 1925
P. Deschamps, La Formation de la pensée de Coleridge, Paris, 1964
Bernard Delvaille, Coleridge, Paris, 1967
Vidéo sur l'auteur :
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