Heinrich HEINE



Né le 13 décembre 1797 à Düsseldorf sous le nom de Harry Heine. Fils de négociants, il travaille un temps dans un comptoir de commerce à Francfort. En 1831, il s'installe à Paris où il va être le plus fêté des Allemands. En 1834, il se met en ménage avec Augustine Crescence Mirat, qu’il rebaptise Mathilde et qu'il épouse en 1841. En 1848, il devient grabataire, terrassé par la syphilis (comme il le croit lui-même) ou la myopathie (selon la description de sa maladie). Mort le 17 février 1856 à Paris.

Quelques Œuvres :

Le Livre des Chants (1816-1827)
L'école romantique (1836)
Romancero (1843-1844)
Les Dieux en exil (1853)


Il a dit :


"Ceux qui brûlent des livres finissent tôt ou tard par brûler des hommes."


Dans la presse :

"Henri Heine est l'homme de toutes les contradictions, des amours trompés, des espoirs déchus et, ce qui est plus grave, qui ont cessé de croire à leur objet, il est le poète de toutes les dissonances, des larmes qu'effacent le rire, du rire que trempent les pleurs.", Geneviève Bianquis

Livre sur l'auteur :

J. Legras, Henri Heine poète, Paris, 1897
C. Andler, La Poésie de Heine, Paris, 1948
G. Bianquis, Henri Heine, l'homme et l'œuvre, Paris, 1948
A. Vallentin, Henri Heine, Paris, 1956

Prix Heinrich Heine

Vidéo sur l'auteur :


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